Un article paru ce jour dans Le Télégramme :
Pour ceux qui lisent l’anglais, l’article scientifique (PdF, 47 pages) publié dans The Journal of Physiology.
Un article paru ce jour dans Le Télégramme :
Pour ceux qui lisent l’anglais, l’article scientifique (PdF, 47 pages) publié dans The Journal of Physiology.
Après un article du journal Le Monde sur une forme inattendue de dopage voici un article paru ce jour dans Le Télégramme sur l’usage de la caféine au sein de l’armée française, plus particulièrement pour les pilotes de chasse.
Cet article est intéressant pour nous qui pratiquons le cyclisme sur de longues distances en temps limité car la question de la lutte contre le sommeil est récurrente avant des épreuves comme Paris-Brest-Paris ou Londres-Édimbourg-Londres.
Certains prônant le sevrage total de café dans les mois qui précèdent l’épreuve afin de garantir l’efficacité maximale de celui-ci le « jour J » (ou plutôt : les « nuits N » !).
En pratique je conseillerais plutôt de simplement limiter l’usage du café dans les quelques jours qui précèdent.
Un sevrage total pendant une longue durée (il y en a qui arrêtent 8 mois avant PBP…) ayant conduit certains à des accès de tachycardie ou troubles du rythme cardiaque après s’être gorgé de café pendant l’épreuve alors qu’ils s’en étaient préalablement totalement déshabitués…
Dans cet article Catherine Le Guen interviewe Fabien Sauvet chargé de recherche au sein de l’unité de vigilance de l’Institut de recherche biomédicale des armées (IRBA).
À la boulangerie ce matin, l’envie me prend de m’acheter un Paris-Brest (taille XS cette fois !).
Au moment de m’en délecter, un doute… je regarde ma montre… nous sommes le 23 octobre.
Il y a deux mois, jour pour jour, je virais à Brest !
Ce samedi 19 février le Comité Départemental de Cyclotourisme du Morbihan organisait une réunion/débat à Pontivy. Le thème : comment aborder dans les meilleures conditions possibles la 17ème édition du Paris-Brest-Paris Randonneur.
« Mener à bien un PARIS-BREST-PARIS ou une épreuve d’ultra distance, repose sur l’absolue nécessité d’un solide entraînement. Pourtant, accumuler les kilomètres est loin d’être suffisant pour garantir la réussite de l’épreuve. Si la préparation est vitale, de multiples « grains de sable » peuvent, en effet, gripper la mécanique. Parmi ces causes majeures d’échecs, déshydratation et apport nutritionnel inadapté tiennent le tout premier rang ! »
À noter : tous trois ont déjà participé à Paris-Brest-Paris. Ils parlent donc en tant que professionnels mais également avec l’expérience du participant.
Daniel Jacob était finisher au dernier triathlon d’Embrun.