Pour pratiquer les longues distances on a besoin de quantité de choses indispensables (un bon vélo par exemple !) et d’autres dont on peut se passer mais tout de même bien utiles…
Dans cette dernière catégorie on trouvera par exemple l’appareil photo.
J’y ajoute un autre objet minuscule et léger comme une plume : un dictaphone numérique.
Il tient dans le creux de la main, ne pèse que 60 grammes et possède une mémoire gigantesque (mémoire interne extensible par carte micro-SD).
Particulièrement utile pour mémoriser des infos tout en roulant.
Ainsi, qu’il s’agisse d’un long brevet, d’une Diagonale ou d’un raid de plusieurs milliers de kilomètres aucun soucis pour rapporter de quoi rédiger les compte rendus* !
L’appareil fonctionne avec une seule pile AAA (R3). Personnellement j’utilise un modèle rechargeable NiMh.
Et voilà un autre atout de ce dictaphone : il est doté d’une prise USB rétractable permettant tout à la fois de transférer des fichiers avec un ordinateur et/ou de recharger sa batterie !
Lorsque je parle de transfert de fichiers avec un ordinateur, cela fonctionne dans les deux sens et pour tous types de fichiers.
Les fichiers sons (les notes enregistrées) peuvent être sauvegardés sur l’ordinateur mais l’appareil peut aussi servir de clé USB pour emporter des documents avec soi.
L’autonomie n’est pas un soucis pour des prises de « notes » (à moins de raconter sa vie en roulant !) mais la possibilité de recharge par USB sans même avoir besoin d’emporter un câble supplémentaire est un vrai plus.
J’ai toujours apprécié les dictaphones. Je suis certain qu’en cherchant bien je dois pouvoir retrouver les micro-cassettes de mon premier modèle qui m’avait permis de rédiger les 50 pages de compte-rendu de mon raid Brest – Cap-Nord (Laponie) en 1986…
En 2011, lors de Paris-Brest-Paris j’avais interviewé, avec un modèle numérique similaire, des participants, des bénévoles et des spectateurs le long de la route…
* comme je m’attends à des remarques de certains… toutes mes notes étant sauvegardées… il n’est pas impossible qu’un jour je comble les « trous » laissés dans mes compte rendus (les fameux panneaux « travaux »)…
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