Sur des épreuves spéciales comme la TCR ou la TAW, le plus « nul » c’est l’après arrivée.
En effet, durant des jours il a fallu batailler pour arriver là et puis d’un coup tout s’arrête et l’on se retrouve à Pétaouchnok avec un vélo chargé, des fringues de vélo plus très fraîches, au milieu de gens « normaux » qui n’ont absolument aucune idée de ce que vous faites là ni comment vous y êtes arrivé…
Le pire dans ce genre là fut la TCR l’an dernier où une fois la ligne d’arrivée franchie… on se retrouvait totalement livré à soi-même au milieu d’une ville de 18 millions d’habitants… (« L’organisation » était là pour le premier tiers des participants mais rien n’avait été proposé pour l’hébergement).
Au moins pour la TAW l’arrivée avait lieu dans un hôtel avec l’assurance d’au moins une nuit de réservée.
Arrivé hier 30 juin, j’ai préféré me poser ici un jour (donc deux nuits) plutôt que de partir errer dans Cork à la recherche d’un nième hébergement.
Et c’est ainsi que j’ai pu accueillir ce soir le seul duo de la TAW : les Néerlandais Eelco & Cristel.
Ce soir nous avons dîné ensemble à l’hôtel. C’était vraiment sympa de pouvoir échanger sur nos vécus respectifs de l’épreuve.
En particulier l’écart de 24 heures dans nos avancées a entraîné des conditions météo parfois radicalement différentes… Je suis passé à Dingle sous le déluge et eux le lendemain sous le soleil…
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