En fin de journée nous avions un dernier briefing de prévu en haut du fameux Muur.
Oui, avant de le remonter à minuit dans le cadre de la course…
Alors que j’arrivais en haut, d’un coup ma roue libre (neuve) lache et je me retrouve à pédaler dans le vide…
En haut on m’indique un excellent vélociste, chez qui d’autres ont également été envoyés. À 3 km…
En fait il y en avait 8…
Avec un pédalier qui n’entraîne plus le vélo qu’une fois de temps en temps, c’est long…
Heureusement le velociste ne ferme qu’à 21h00 (oui, tous les jours…) et il était prévenu par téléphone de mon arrivée.
C’est réparé et je me suis retapé le Muur.
La 3ème fois dans quatre heures.
C’est rageant mais c’est mieux ici qu’en Bosnie où même que cette nuit…
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