TriRhéna : contrôle 4

Le mont Chasseral.
Altitude 1548 m
Contrôle ravitaillement organisé par le CCK.

En sortant de Neuchâtel je suis encore en avance sur mon planning.
Ensuite… plus de jus du tout dans l’ascension (10%). Même à pied je n’avance plus. Vidé ! Nausées, douleurs dans la poitrine…

Maintenant, au Chasseral, c’est le déluge !
Après le ravitaillement et donc m’être pausé un moment, j’ai l’impression que ça va mieux…
Je me renseigne auprès de Bridou, même si le Chasseral est le point haut du parcours, l’étape la plus difficile c’est la suivante !

Un Allemand est porté disparu (depuis on sait qu’il a abandonné). Deux autres participants ont remis le cap sur Kingersheim…
Je décide de… décider en chemin !
Je n’ai en fait que 2 heures de retard sur mon horaire de départ prévu.
Je reprends donc la route direction St-Imier (rappel : nous sommes en Suisse).
Évidemment cela descend fort,  mais avant d’aborder la « vraie » descente une bosse me démontre que je suis plus vraiment en état d’attaquer des ascensions…

En arrivant à St-Imier, ville à flanc de montagne, la chose que l’on ne peut pas rater c’est la gare !
Je vais m’y renseigner… 3 heures plus tard j’étais de retour à Mulhouse !
Retour au Vito à vélo (sous la flotte). Un saut au Buffalo Grill pour une entrecôte frites qui me faisait rêver.
Comme j’ai des douleurs + palpitations dans la poitrine, je m’interroge… mais je n’ai pas envie de me pointer aux urgences… on verra bien !

L’Ibis étant complet je préfère dormir dans mon Vito que de chercher ailleurs.

Jai dormi comme un loir jusqu’à ce matin…
Douche au club puis petit déjeuner sympa en terrasse d’un café alsacien.

3 réponses à “TriRhéna : contrôle 4”

  1. Avatar de Jean-Louis
    Jean-Louis

    Géraldine, l’infirmière des urgences de l’hôpital de Mulhouse, a du mal à se remettre de ne pas t’avoir vu (ben oui, un gars qui « palpite » 🙂
    J’avais écrit un jour, quelque part, que le Trirhéna avait un nom de médicament, et que je me demandais ce qu’il pouvait bien soigner. En tout cas, malheureusement, il ne soigne pas la Rolandite.
    Et c’est bien dommage.
    Voilà, voilà. Wesh.

    Wish : Que tes ennuis de santé soient résolus.

  2. Avatar de Yvan
    Yvan

    Salut Roland,
    Vraiment dommage mais tu as eu sûrement raison d’arrêter là… Les douleurs à la poitrine ont-elles disparues ?

    Amicalement,
    Yvan

    1. Avatar de Roland
      Roland

      Salut Yvan,

      Je suis venu alors que j’étais déjà exténué mais je ne voulais pas « abandonner avant de partir ».
      Mais je ne suis pas non plus venu pour mourir en route…
      À cette heure je n’ai plus mes palpitations, juste un « petit point douloureux »…

      PascalB vient de m’appeler, lui aussi a arrêté. On en serait à une vingtaine d’abandons…

      Amicalement
      Roland

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