Huit jours après mon arrivée à Istanbul, un petit point en attendant le, ou plutôt les comptes rendus.
Comme je l’écrivais le lendemain de l’arrivée je ne souffre d’aucune douleur suite à cette épreuve hors du commun.
Rythme cardiaque, pression artérielle, tout est normal.
Bien que tout le monde me pose la question « alors, tu as perdu combien ? »… je ne me suis pas pesé !
Cela dit, depuis mon retour une énorme fatigue s’est abattue sur moi ! Un énorme besoin de sommeil !
Je mange également « comme quatre » !
Je me donne jusqu’à la fin du mois avant de redevenir raisonnable… pour l’instant je cède à toutes mes envies !
Le tracker satellite a été renvoyé à « l’organisation »… nul doute que ce système est vraiment génial. À tel point que j’envisage sérieusement d’en acheter un pour de futures Aventures au long cours…
Mon carton validé :
Compte tenu du décalage horaire (Grèce et Turquie ont une heure de plus que nous) j’ai mis 19 jours, 19 heures et cinq minutes…
Les cinq minutes c’est pour ne pas m’être précipité pour faire valider mon carton mais avoir discuté un minimum avec un collègue arrivé peu avant… Le barman avait bien vu que j’étais là puisque j’avais posé mon vélo contre son comptoir mais il a attendu que je lui donne mon carton… Mais inutile de chipoter pour si peu !
L’essentiel pour moi est d’être allé jusqu’au bout de ce périple difficile physiquement et extrêmement dangereux du fait d’une circulation intense, anarchique et totalement ignorante des règles élémentaires de sécurité routière… sans parler des attaques quotidiennes de meutes de chiens sauvages…
Au-delà de ces difficultés propres à l’épreuve et aux pays traversés, aller au bout de celle-ci lorsque je m’y suis inscrit pouvait tout simplement sembler : « Mission impossible »…
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