TCR : Le 136 n’en fait qu’à sa tête

Le premier était délicieux mais il n’est pas encore passé… alors j’en prends un autre pour pousser !

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(Je ne parle pas de la Guinness… c’est la 3ème… trop chaud pour bouger !)

9 réponses à “TCR : Le 136 n’en fait qu’à sa tête”

  1. Avatar de Daniel Douguet
    Daniel Douguet

    Un pousse….mousse ?

  2. Avatar de Jean-Louis
    Jean-Louis

    Bon. On va re-causer un peu de la course.

    1- Tu es donc parmi les approx 50% à être finisher (chiffres tracker à jour) en considérant que les 6 ou 7 qui sont toujours en route finiront. Et que, parmi ces 50%, il y en a qui ont shunté une partie, importante ou plus petite, du parcours (les contrôles et les portions obligatoires). Sans même parler du fait qu’il y en a qui ont utilisé un, ou des, véhicules.
    BALAISE

    2- Question : Qu’avais-tu fait, finalement, comme « longues », et longues distances avant de partir ? Me souviens pas au juste. Des brevets, oui, et ??

    1. Avatar de Roland
      Roland

      Merci Jean-Louis pour ces infos car je ne me suis jamais préoccupé de savoir où j’en étais par rapport aux autres.

      Si tu veux parler de l’entraînement en longues distances cette année, il se résume aux BRM 300 (Caudan), 400 (Guipavas) et 600 (Carhaix).
      Plus bien sûr 23 mois (25 maintenant) de Dodécaudax Continu.

      1. Avatar de Pascalb
        Pascalb

        Les distances cumulées en soi ne peuvent pas tout expliquer. Ce sont plutôt les erreurs et galères passées qui forgent le moral et par conséquent la volonté.
        Roland a fait le choix comme beaucoup de finir quelque soit la durée, transformer une course en découverte personnelle ça c’est fort.
        Roland: oublié les soucis des saisons précédentes ( chute au départ d’une diag et autres « joyeusetés » de santé).

      2. Avatar de Jean-Louis
        Jean-Louis

        Sur ta première phrase : C’est donc épatant que toi, Philippe Lebas et Peter Vancampenhout, vous vous soyez retrouvés à peu de distance vers Kemerbugaz pour les derniers km, en étant partis le matin de lieux différents en distance et en ayant pris trois routes totalement différentes.

        Et, sur « l’entrainement » longue distance, voici encore de quoi rendre perplexes certains. MAIS, ce DDCX en continu est forcément un point primordial.

        ET, autre point primordial, il y a l’expérience du « self-riding », si je puis dire. Et l’envie ….

        Me trompe-je ?

        1. Avatar de Roland
          Roland

          Je pense que la gestion de l’épreuve est primordiale. Et donc l’expérience des longues distances vues comme distance de longues durées. Je savais que le fait que la TCR était une épreuve très longue était paradoxalement un atout pour moi, à condition de franchir les premiers jours en bon état.
          J’ai donc tout fait pour éviter le moindre bobo au cours des premiers jours.
          Quitte à prendre mon temps dans (et après) l’Assietta par exemple.

    2. Avatar de Daniel Douguet
      Daniel Douguet

      Que lis-je ?

      Des resquilleurs dans la TCR ?

      Quel intérêt ?

      1. Avatar de Jean-Louis
        Jean-Louis

        Pas des resquilleurs, non. Des, qui, pour X raisons, n’ont pas satisfait aux exigences du règlement.

  3. Avatar de Gilbert - Cyclaudax
    Gilbert – Cyclaudax

    tout simplement , BRAVO.
    prends le temps de récupérer et retrouver un rythme de cyclotouriste.

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