14 Mai2015
 

Trois semaines après le BRM 300 de Caudan je m’apprête à prendre le départ du BRM 400 de Guipavas.
Cette fois un départ près de chez moi.
Je me suis inscrit par courriel il y quelques jours aussi je n’ai pas besoin d’arriver très en avance.
Le départ est prévu à 18h00, plus tôt qu’en 2011 où nous étions parti à 20h00.
Le parcours en revanche n’a pas changé.

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

Je crois que j’aurais préféré partir à 20h00 (voire plus tard encore) histoire de dormir un peu avant le départ… Là je me suis contenté d’une bonne ration de pâtes avant de m’allonger une heure
dans le noir. Je pars en déficit de sommeil mais c’est classique !

Un brevet de 400 kilomètres qui part le soir implique de passer la nuit sur le vélo, on aime ou pas mais l’exercice est « obligatoire » dans le cadre d’une préparation à Paris-Brest-Paris
Comme la plupart je suis certes là pour valider un BRM en vue de mon inscription à PBP mais je suis surtout là pour continuer à me préparer à la TCR et à valider des choix matériels.
Cette fois je vais avoir l’occasion de tester sur une nuit entière ma nouvelle lampe frontale inaugurée brièvement au départ du 300.

Je pars également avec une selle neuve. Je ne teste pas le modèle puisqu’il s’agit du même que l’ancienne (Brooks Swallow avec rails en titane) mais celle-là sort directement de sa boîte…
Qu’en penseront mes fesses à l’arrivée ?

En récupérant ma carte de route je m’informe du pointage des contrôles de nuit.
Comme en 2011, un camping-car de l’organisation sera bien présent à Lézardrieux (km 178).
Pour Quintin (km 232) il faudra se débrouiller…
Les années avec PBP les brevets sont nombreux et les participants aussi !
C’est l’occasion de revoir pas mal de têtes connues !

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

Il est toujours intéressant d’observer les choix des uns et des autres en terme d’équipement…
Pour être le plus léger possible beaucoup partent avec très peu de bagages et sont déjà habillés pour la fraicheur de la nuit…
Je dois être le seul en maillot manches courtes… À tel point que plusieurs me demandent si je n’ai pas froid et qu’un membre de l’organisation me met en garde contre le froid durant la nuit…
Je le rassure en lui disant que je ne suis pas un débutant et que je trimballe de quoi m’habiller chaudement !
Je me demande d’ailleurs comment font certains pour rouler habillés comme ils le sont alors que la température est encore fort agréable…
En effet, alors que la journée a commencé sous un ciel chargé et du crachin, la météo s’est nettement améliorée et pour le départ c’est l’éclaircie.

18h00, c’est parti !

Tout d’abord sur des routes bien connues.

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

Cette première étape est facile. La plus cool en terme de relief, juste la traversée de deux agglomérations avec la circulation du samedi soir.

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

Objectif premier contrôle à Morlaix (km 51) après avoir traversé Landerneau et Landivisiau.

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

À Morlaix je n’ai pas l’intention de perdre trop de temps. Malgré tout je profite de l’arrêt pour consommer un grand café. Je ne trouve pas correct de réclamer un « coup de tampon » et de repartir aussi sec sans consommer. Après « on » se plaint de la disparition des petits commerces…
Morlais est un contrôle « touch and go » : on ne traverse pas la ville mais on repars en sens inverse pour cette fois attaquer l’ascension vers Carhaix, contrôle suivant (km 98).
Bon, lorsque je parle d’ascension, ce n’est pas l’Alpe d’Huez non plus, hein !

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

J’ai prévu d’arriver à Carhaix avant la nuit afin de n’avoir à m’équiper pour celle-ci qu’en repartant du contrôle.
Pari gagné.
Cette fois je profite de l’arrêt pour manger. Je suis parti avec six sandwichs au jambon + un sachet de petits saucissons pour apéritif (entre autres. J’ai 1,2 kg de nourriture dans ma sacoche).
Je commande un Coca et avale un sandwich et demi.
Un grand café, un tour aux toilettes et je m’équipe pour la nuit.
Un sous-vêtement chaud et un maillot manches longues en remplacement du maillot manches courtes.
J’enfile également une paire de gants légers (j’en ai des plus chauds au cas où, mais cela ne me semble pas utile pour l’instant du moins).
(Pour le cuissard je suis parti avec un corsaire).
Je m’équipe de ma frontale et c’est parti pour 80 kilomètres jusqu’à Lézardrieux.
Jusqu’à Guingamp j’ai vraiment bien chaud. Tout va bien. Je suis parfaitement dans un timing global de 18 heures, arrêts inclus évidemment, même si le temps n’est pas ma préoccupation.

Sur la fin de l’étape, la proximité du Trieux et la forte humidité de l’air ambiant font que je commence un peu à cailler… mais cela reste supportable et je préfère attendre le contrôle pour enfiler ma veste Gore-Tex.

À Lézardrieux le camping-car est bien là, sur le même parking qu’il y a quatre ans.
Je donne ma carte à valider et enfile aussitôt ma veste Gore-Tex.

Sous l’auvent du camping-car des tables sont dressées avec des boissons chaudes, de la soupe, du quatre-quart, et des bouteilles d’eau pour refaire le plein des bidons.
Je prends du thé chaud histoire de changer du café.

Je me force à absorber un demi-sandwich et quelques petits saucissons (qui passent mieux !).

Et c’est reparti pour 54 kilomètres jusqu’à Quintin.
Contrairement à ce qu’indique la feuille de route il ne faut pas emprunter la D7 qui est interdite aux vélos (c’est devenu une voie-express) mais slalomer autour sur des petites routes. Mais c’est bien indiqué.

Hormis pour les plus lents qui arriveront à Quintin après l’ouverture des boulangeries ce contrôle est le seul qui « pose problème ».
Il est d’ailleurs drôle que certains s’en tiennent encore à la validation par carte postale envoyée à l’organisation : il y a belle lurette que La Poste n’appose plus de tampons personnalisés pour
chaque commune… quant au fameux « cachet de La Poste faisant foi » : que l’on passe à 3 heures du mat’ le dimanche ou à 6 heures le lundi… ce sera de toute façon celui de la levée du lundi !
En entrant dans Quintin je prends une photo de mon vélo devant le panneau de la commune et décide de doubler la preuve par un retrait bancaire.

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

Les portes de la première agence devant laquelle je me présente refusent de s’ouvrir. Je file vers une suivante. J’y retrouve d’autres cyclos.
Il y a un distributeur extérieur et d’autres à l’intérieur.
Je tombe de sommeil, et j’ai plein de temps devant moi. Je décide de m’octroyer un roupillon style SDF…
Je rentre avec mon vélo dans le sas bancaire, retire 20 euros histoire d’avoir un ticket portant mon nom, la date, l’heure et la commune puis m’allonge par terre !

Autant en entrant dans le sas je trouvais qu’il faisait bon à l’intérieur, autant une fois sur le sol je commence à grelotter ferme !
On dirait une carpe que l’on vient de sortir de l’eau !
J’insiste et fini par m’endormir !

Lorsque je me réveille il fait quasiment jour. Je reprends la route en espérant trouver rapidement un café d’ouvert… sans me faire trop d’illusions…
Première difficulté, trouver la sortie, la bonne (!) de Quintin…
Le vent, sans être très violent, n’en est pas moins contraire.
En chemin je rattrape un groupe de cyclos qui eux n’ont pas dormi…
Il fait suffisamment jour, je retire ma lampe frontale. C’est clair elle tient sans problème une nuit. Elle est donc approuvée pour la TCR !

Comme chaque fois je roule au ralenti en attendant mon premier café du matin…
Ce n’est qu’à Rostrenen (km 270), en m’écartant de la route, que je trouve enfin un bar-PMU ouvert. Vive les jeux d’argent !
Je suis bientôt rejoins par un certain nombre de cyclos bien contents eux aussi de l’aubaine.
Je prends mon temps. Un Coca pour me forcer à faire passer un sandwich, puis un grand café et enfin un Perrier.
Les autres sont repartis. D’autres sont arrivés. Je ne m’affole pas, je sais qu’une fois « réveillé » le rythme va revenir et de toute façon j’aime rouler seul.

Je quitte Rotrenen. Petit à petit je me réveille.

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

Finalement, dans le ciel des « nuages bleus » semblent vouloir se frayer un chemin…

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

Je me remets en maillot manches courtes et repars à bon rythme.
Notre parcours passe par le col de Toullaëron (266 m) !

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

Maintenant ça y est, enfin, il fait beau !

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

J’arrive à Châteaulin (km 352).

J’aperçois trois vélos appuyés à la façade d’un bistro. Je m’y arrête également, fait valider ma carte et commande un Coca. Histoire de faire passer un sandwich.
Je refais le plein d’un bidon afin d’être tranquille jusqu’au bout. Il ne me reste qu’une cinquantaine de kilomètres. Des routes bien connues et… bien vallonnées !
Mais tout d’abord le parcours longe l’Aulne jusqu’à Port-Launay.

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

9-10 mai 2015 : BRM 400 de Guipavas (29) ©cyclo-long-cours.fr

Finalement je termine ce brevet avec cinq heures de marge sur le délai (mais en ayant bien profité des arrêts!).

Bilan : 408 kilomètres pour environ 4000 mètres de dénivelé positif cumulé.

Pas de soucis particuliers malgré une selle neuve au départ !

15 Mar2015
 

Si j’ai effectué les 4 sorties hivernales de mon Dodécaudax Continu avec mon « vélo jaune », il est temps de reprendre le titane, la Transcontinental Race approche à grands pas !

Si je suis vraiment très satisfait de mon Seven Titane (réalisé sur mesure en 2008), après sept ans et plusieurs dizaines de milliers de kilomètres, il me démangeait d’apporter quelques aménagements…

La principale modification concerne les développements.
Le vélo est monté en Shimano Dura-Ace Triple (10 vitesses) :

  • plateaux : 30 x 39 x 52
  • cassette : 12 x 27

L’étagement de la cassette me convient parfaitement (12 – 13 – 14 – 15 – 16 – 17 – 19 – 21 – 24 – 27), en particulier les six premiers pignons consécutifs qui permettent une adaptation précise aux changements de relief tout en gardant un rythme de pédalage à peu près constant (autour de 90 tr/mn pour moi).

Pour ce qui est des plateaux… dans une pratique « longues distances » c’est clairement le 39 qui est le plus utilisé.
Contrairement à certains cyclos, je me sers du 52 mais évidemment je l’use beaucoup moins que le 39 !
Quant au 30… il m’est quasi inutile en Bretagne mais l’expérience m’a montré que pour de longs périples en montagne (comme le 1000 du Sud) il est encore trop grand !
Lorsque les cols s’enchainent, il vient un moment ou il est bon de pouvoir continuer à grimper « tranquillement » en moulinant, plutôt que de s’éreinter en danseuse ou… de mettre pied à terre!

Devant changer cassette, chaine et plateau de 39, j’en profite pour tester un nouveau choix de plateaux : 26 x 38 x 50.

1) Le passage du 39 au 38 :

J’aurais très bien pu rester en 39 puisque j’en étais satisfait!
En fait mon changement concernait avant tout les deux extrêmes, le 38 c’est juste pour être pile-poil au milieu (il y a exactement 12 dents de 26 à 38 et de 38 à 50).

Voici ce que cela donne en terme de vitesse (en km/h) pour une fréquence de pédalage comprise entre 85 et 95 tr/mn :

Braquets avec plateaux 39 et 38

Même si la différence est faible (une dent !) entre le 39 et le 38 dents, ce dernier m’offre (avec la cassette 12-27 Dura-Ace) une parfaite adaptation de 24 à 33 km/h (et un usage dès 19 km/h).

2) Le passage du 52 au 50 :

Deux dents de moins sur « la plaque », cela commence à compter!
Toujours pour une vitesse de pédalage comprise entre 85 et 95 tr/mn :

Braquets avec plateaux 52 et 50

J’ai hésité à réduire encore plus (pour un 48)… Je verrai à l’usage… mais tel quel ce plateau me permet de rouler de 28 à 50 km/h (au-delà… j’arrête de pédaler !)

3) Le passage du 30 au 26 :

C’est évidemment le changement le plus notable! Quatre dents de moins!
Dans les parcours ou le petit plateau est inutile, sa taille importe peu (!), en revanche pour de longs parcours montagneux il est toujours un moment ou le petit développement est encore toujours trop grand!
Je souhaitais descendre au « rapport 1  » (1 tour de pédale = 1 tour de roue) mais pas franchement plus bas car au-dessous je trouve qu’il devient difficile de rouler en ligne droite !

Voici une comparaison entre le 30 et le 26, mais cette fois pour une fréquence de pédalage comprise entre 55 et 65 tr/mn :

Braquets avec plateaux 30 et 26

Mine de rien, ce changement me permet (à puissance développée et fréquence de pédalage identiques) de grimper des pentes 2% plus raides (compte-tenu de mon poids total roulant = ma carcasse + le vélo + les bagages).

Bilan : 7 dents de réflexion !

Beaucoup de cogitations pour en arriver là!
Les constructeurs mettent en avant les pédaliers compacts.
Le concept est attirant mais s’il convient à un cyclo-sportif évoluant dans une région donnée (en adaptant la cassette), je n’ai pas trouvé de combinaison pouvant satisfaire aux grandes diversités de relief que l’on peut rencontrer sur un parcours de plusieurs milliers de kilomètres tout en offrant le « confort » d’une cassette parfaitement étagée (on peut descendre au rapport 1 avec un pédalier compact mais dans ce cas on se retrouve avec une cassette « pleine de trous » et je trouve cela particulièrement inconfortable).

Me voici donc avec une configuration légèrement modifiée. J’ai encore quelques mois et des milliers de kilomètres pour la valider !

Sept ans de réflexion

PS : Suite à la question de mon ami Pascal, voici le récapitulatif des vitesses atteintes pour une fréquence de pédalage de 85 à 95 tr/mn :

Braquets avec plateaux de 26, 38 et 50

De 10 à 50 km/h à ma fréquence de pédalage « nominale ».

16 Fév2015
 

Jusqu’ici seuls les contrôles intermédiaires et l’arrivée (Istanbul !) de la Transcontinental Race 2015 étaient connus.

Pour le départ nous savions que ce serait les Flandres, qu’il y aurait des pavés, mais que le lieu précis ne nous serait communiqué que plus tard…

Et bien c’est fait !
Par un courriel, ce 16 février à 17h49, l’info nous est donnée !

Pour se rendre à Istanbul il faudra commencer par… faire le mur !

La TCR partira de Grammont (Geraardsbergen) et commencera par « le mur de Grammont » (Muur Kapelmuur) :

Le Mur de Grammont (Muur Kapelmuur) ©cyclo-long-cours.fr

Le mur de Grammont est une route pavée de 92 mètres de dénivelé (sur 1 kilomètre). Le lieu est classé depuis 1995 et doit sa célébrité au fait qu’il est grimpé comme obstacle de montagne lors de nombreuses courses cyclistes belges, et tout particulièrement lors du Tour des Flandres.

Cette ascension est d’ailleurs présente dans l’ouvrage de GEO Sommets Mythiques : 50 cols incontournables d’Europe.

Au delà de la pente (moyenne de 9,2 % – maximum de 19%), la difficulté de l’ascension est accrue de par le fait que les pavés sont horizontaux et forment donc de petites marches…

Le Mur de Grammont (Muur Kapelmuur) ©GEO - cyclo-long-cours.fr

La TCR partira donc de la place du marché de Grammont et commencera par cette ascension. De nuit, puisque le départ a lieu le 25 juillet à 00h00…

Le Mur de Grammont (Muur Kapelmuur) ©GEO - cyclo-long-cours.fr

27 Nov2014
 

Aujourd’hui 27 novembre, j’ai réalisé la 16ème étape de mon Dodécaudax Continu.

Pour des raisons d’emploi du temps je n’ai pu m’y prendre plus tôt.
Ne pouvant m’absenter trop longtemps je décide de remettre à plus tard le circuit initialement prévu et d’en concocter un autre.
Pour ne pas perdre de temps avec un trajet en véhicule, je choisis de partir directement de chez moi, de rejoindre Landerneau puis d’enchainer 3 boucles Landerneau – Le Roch’ Trévézel.

27 novembre 2014 : 203 km, Dodécaudax 16/16

Pour rappel le Roc’h Trévézel (FR-29-0344) est un des quatre cols du Finistère (et de Bretagne). Il est situé à 344 mètres d’altitude.

Chaque boucle représente 62,6 km.

27 septembre 2014 : 203 km, Dodécaudax 16/16

Ce matin il fait une température anormalement basse pour ici : 2,4°
J’attends le lever de soleil pour partir, histoire d’éviter le trafic routier de début de journée.
La lumière au-dessus de la vallée de l’Elorn, encore dans la brume, est splendide.

Lever de soleil sur l'Elorn ©cyclo-long-cours.fr

Lever de soleil sur l'Elorn ©cyclo-long-cours.fr

Sitôt la sortie de Landerneau atteinte, je prends la D764 et attaque ma première ascension.

En route pour le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Avant Le Queff, les passages à l’ombre sont vraiment frisquets, mais le soleil qui filtre entre les arbres met en valeur les dernières couleurs de l’automne.

En route pour le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Nous ne sommes pas en montagne et l’ascension vers le Roc’h Trévézel n’est pas une longue côte mais une succession de montées, de faux plats et de redescentes.
Avant d’arriver à Sizun, le terrain est bien dégagé et baigné de soleil.

En route pour le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Tien, un grand-bi :

27 novembre 2014 ©cyclo-long-cours.fr

En route pour le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

En route pour le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

La météo sur le Roc’h Trévézel est toujours… particulière…
Les prévisions du jour, consultées avant le départ, indiquaient un vent d’est allant forcissant tout au long de la journée.
Pour cette première ascension, il n’est pas encore très gênant.

Cependant, passé Sizun, les conditions changent franchement et la belle lumière laisse place à la purée de poix…

En route pour le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Et voici le Roc’h Trévézel. Difficile de s’imaginer que devant moi se dresse une antenne de plusieurs centaines de mètres…

Le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Il ne me reste plus qu’à redescendre jusqu’à Sizun pour retrouver la lumière.

27 novembre 2014 ©cyclo-long-cours.fr

Je retourne à Landerneau puis attaque une deuxième ascension.

En route pour le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Cette fois le vent contraire se fait nettement sentir.
Mais pour ma deuxième arrivée au sommet, la vue s’est tout de même dégagée.

Le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Et j’attaque ma deuxième « descente ».

Le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Sitôt à Landerneau, le temps de faire le tour du rond-point et c’est la troisième ascension !

En route pour le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Cette fois le vent contraire me gêne plus que la pente.
Certaines rafales se font même durement ressentir.

Encore un bel éclat de lumière :

En route pour le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Et le temps se gâte à nouveau sur le Trévézel.
Cette fois c’est un bon crachin puis carrément de la pluie…

Le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Il est temps d’aborder la dernière descente et de rentrer à la maison.

Le Roc'h Trévézel ©cyclo-long-cours.fr

Trois passages successifs au Roc’h Trévézel
Trévézel 1er passage Trévézel 2ème passage Trévézel 3ème passage

Bilan : 203,5 km et 2292 mètres d’ascension (1126m / 100km).

A vélo, oui ! A la chaîne, Non !

A vélo, oui ! A la chaîne, Non !

Les 16 circuits réalisés jusqu’ici :

Dodécaudax Continu : 16ème mois

Pour consulter les différents parcours de mon Dodécaudax

03 Oct2014
 

Seulement cinq jours après ma sortie de septembre, je décide de réaliser celle d’octobre. La 15ème de mon Dodécaudax Continu.

En effet juillet (le 27), août (le 28) et septembre (le 28) ont été réalisés en fins de mois (ce qui est toujours risqué).

Pour octobre, novembre et décembre je conseille fortement de placer les sorties Dodécaudax le plus tôt possible, les jours raccourcissant de façon notable.
Les choses seront différentes en janvier, février et mars…

Pour cette 15ème sortie je choisis d’aller faire un tour « dans le sud » : Finistère et Morbihan.

03 octobre 2014 : 210 km, Dodécaudax 15/15

Un circuit au départ de Port-Launay (au bord de l’Aulne), qui rejoint la côte sud à la Pointe de Trévignon, puis cap à l’est jusqu’à Pont-Scorff via Pontaven et Riec-sur-Belon, et retour par Meslan, Le Faouët, Gourin, Plonévez-du-Faou et Le Cloître-Pleyben.

03 octobre 2014 : 210 km, Dodécaudax 15/15

Page en travaux

A vélo, oui ! A la chaîne, Non !

Les 15 circuits réalisés jusqu’ici :

Dodécaudax Continu : 15ème mois

Pour consulter les différents parcours de mon Dodécaudax