17 Déc2018
 

D’un côté des épreuves « ancestrales » comme les BRM, Diagonales, etc… malheureusement connues d’un public limité et… vieillissant…

D’un autre des épreuves qui, hors fédérations (pré)historiques, attirent de plus en plus de participants et font le plein en quelques heures… (TCR, BTR…)

Je ne débattrai pas ici et maintenant des erreurs stratégiques et/ou « marketing » des uns ni du côté plus ou moins mercantiles des autres…
Ni du côté « monde d’avant » de certains sites internet (lorsqu’ils existent…) ni de l’hystérie branchée des « réseaux sociaux »…

Mon propos aujourd’hui est de mettre en avant une proposition de randonnée longue distance particulièrement excitante… et cela dans le cadre des structures existantes traditionnelles : chapeau !
Comme quoi le renouveau est possible dès l’instant où des hommes de bonne volonté veulent bien se pencher sur la question plutôt que de pleurnicher sur la fin du monde d’avant…

Les Traversées de France

Les Traversées de France :

Stéphane GIBON, avec qui j’ai eu le plaisir de réaliser une Flèche Vélocio il y a quelques années, est à l’origine de brevets réputés tant pour leur intérêt sportif que culturel.
Tout cela dans le cadre du cyclo club de Montebourg (50310).

Stéphane nous propose une nouvelle catégorie d’épreuves : les Traversées de France.

Le parcours proposé pour 2019 porte le nom de Diagonale du vide.

Il s’agit d’une traversée de la France hyper-rurale, une longue diagonale de plus de 1700 kilomètres de la Meuse aux Pyrénées. De la Belgique à l’Espagne. De la ligne Maginot aux châteaux Cathares.

La traversée de la France hyper-rurale dans la revue Cyclotourisme :

Revue Cyclotourisme n°685 - Décembre 2019 pages 60-61

Cliquer sur l’image pour télécharger le PdF

Il ne s’agit pas d’une épreuve VTT (contrairement à la French Divide). Mais compte-tenu des (toutes) petites routes empruntées, peut-être qu’un vélo type « Gravel » sera plus à l’aise qu’un coursier « pur et dur ».
Ne pas perdre de vue que l’aspect « désertique » des régions traversées imposera de transporter un minimum de ravitaillement. L’occasion d’être vraiment autonome…

Précision de l’organisateur : « un vélo acceptant les bagages, confortable, avec de bons pneus et des développements pas trop prétentieux. Bref un vélo de randonnée avec des Durano est largement suffisant ».

Quelques infos :

  • Départ de la Basilique d’Avioth (55600) le samedi 22 juin 2019 à 7h00
  • Arrivée à Massat (09320) au plus tard le dimanche 30 juin 2019 à 22h00
  • 1.726 kilomètres
  • 207 heures max (soit un minimum de 200 kilomètres par jour)
  • 28.400 mètres d’ascensions (soit une moyenne de 1.645 mètres d’ascensions pour 100 kilomètres)
  • 59 cols
  • 20 départements

Les inscriptions commenceront le 2 janvier 2019 et seront limitées à 100 participants.
Retrouvez toutes les informations ICI !

13 Mai2018
 

Des nouvelles pour tous ceux qui m’envoient des messages (et que je remercie ici)…

Il semblerait que j’ai été victime d’une intoxication alimentaire…

En tout cas l’attaque a été virulente.
Si les symptômes ont disparu (fièvre, diarrhées, vomissements) il reste une grande fatigue et des brûlures d’œsophage…

Pensant m’en remettre plus rapidement, j’avais un temps envisagé un raid éclair jusqu’à Rennes, avec mon vélo de route, afin de rapatrier mon fourgon.

Ne m’en sentant pas la force, j’ai profité d’une « fenêtre SNCF » (au milieu des grèves) pour me rendre à Rennes hier.
J’ai ainsi restitué le tracker à l’organisateur et suis rentré tranquillement à la maison avec mon fourgon…

J’ai eu l’occasion de voir arriver un certain nombre de participants. Fatigués mais heureux !
On les comprend !
BRAVO à eux et encore bravo pour l’organisation de cette nouvelle épreuve !

07 Mai2018
 

Depuis ce matin GROS SOUCIS « gastriques » : diarrhées et vomissements…

Si je bouge je gerbe, si je m’allonge je gerbe, si je tente d’avaler quoi que ce soit… je gerbe…

Pourtant, les dépôts de gerbes, c’est le 8 mai… pas le 7 !

C’est affreux car je n’ai plus rien à vomir… que du suc gastrique qui me brûle de bas en haut…

Bon, je ne mets pas de photo !

07 Mai2018
 

La nuit dernière, bivouac dans un champ à vaches… sans les vaches !

À mon réveil, un petit chat blanc, à quelques mètres se demandait quel animal pouvait bien se planquer là dedans…

Depuis 7h00 je cherche désespérément un en endroit où prendre un petit-déjeuner…

C’est ici, à Lézardrieux que j’ai trouvé.

Et encore c’était pas simple…

Boulangerie fermée, le café ne fait que café.

J’ai du trouver une supérette pour acheter des croissants sous boîte plastique et revenir au café…