Deux entrainements en extérieur pour aujourd’hui.
J’ai été courir 13 kilomètres à midi (pas de photo) et sortie VTT (sur petites routes) en toute fin de journée.
L’occasion de rentrer par le pont Albert Louppe au moment de « l’heure bleue ».
Deux entrainements en extérieur pour aujourd’hui.
J’ai été courir 13 kilomètres à midi (pas de photo) et sortie VTT (sur petites routes) en toute fin de journée.
L’occasion de rentrer par le pont Albert Louppe au moment de « l’heure bleue ».
Incroyable : pas de pluie ce jour !
Encore un circuit mixte, bitume et gadoue.
Petites routes et chemins à VTT ? L’art de rouler… peinard !
Parti sous un ciel bien chargé, j’ai eu le plaisir de vivre un magnifique couché de soleil en fin de parcours.
En 2017 je vous racontais les conséquences inattendues d’une explosion volcanique.
Après avoir inventé et perfectionné sa « Laufmaschine » (de l’allemand « Laufen », « courir »), Karl Friedrich DRAIS envoie un émissaire à Paris pour déposer auprès du Directoire des brevets (ancêtre de l’INPI – Institut National de la Propriété Industrielle) une demande de brevet d’importation.
Dans sa demande, DRAIS nomme lui-même sa machine : « vélocipède ».
Cette demande a été déposée le 19 janvier 1818, il y a exactement 200 ans aujourd’hui !
Dans ce document, description, particularités, avantages et maniement du vélocipède sont énumérés et décrits.
Anecdote plaisante : DRAIS ne pouvant se rendre lui-même à Paris, il avait envoyé un serviteur.
Cet homme ne parlait pas parfaitement français et l’employé du bureau des brevets ne comprenait pas un mot d’allemand…
« Serviteur » se dit « Diener » en allemand et se prononce comme « dineur ».
La demande de brevet d’importation fut donc rédigée au nom du « Sieur Dineur » !
Je l’ai déjà dit, entre deux « saisons » je n’arrête pas l’entrainement.
En revanche, je varie les plaisirs.
Pour la fin de l’année civile je bascule sur de l’entrainement quasi exclusivement en salle.
À compter du 1er janvier je commence à alterner, introduisant une dose progressive de sorties extérieures.
Sans pour autant négliger la PPG (Préparation Physique Générale).
Pour les sorties, je jongle avec mes différents engins, en fonction des envies et des priorités de l’année.
En cette fin de journée, passage sur le fameux pont Albert Louppe.
Même les jours où le soleil ne s’est pas levé, c’est là que l’on peut avoir la chance de le voir se coucher…
Et la vue sur la rade de Brest, ou sur l’Élorn, est toujours aussi spectaculaire.
Aujourd’hui Météo France prévoyait « éclaircies ».
Comprendre : pas de pluie ou d’averses…
Un grand mieux par rapport aux jours précédents !
Si, si !
Effectivement, une fois le brouillard matinal dissipé, la brume a laissé apercevoir une lumière au bout du tunnel !
Sortie à VTT cet après-midi.
Je confirme, pas d’erreur, c’est cet après-midi, pas en fin de journée…
Initialement mon intention était de prendre le VTT mais de rester sur le bitume.
En effet, la French Divide comprend environ 30% de route, soit environ 650 kilomètres.
Kilomètres qu’il faudra bien faire avec le VTT.
J’y reviendrai.
Évidemment je n’ai pas pu m’empêcher d’emprunter quelques bourbiers chemins…
Après avoir franchi le pont Albert Louppe, circuit en presqu’île de Plougastel.
Un « truc » à savoir : traverser le pont Albert Louppe un dimanche après-midi… c’est une belle épreuve de franchissement au milieu d’obstacles mouvants et imprévisibles…
Profitant du répit avant le retour de la pluie, nouvelle sortie VTT sur les chemins en bord d’Elorn et dans les bois de La Forest et de Saint-Divy.
Pas de crainte que la terre ne sèche de si tôt…
En fin de parcours la pluie avait commencé à reprendre et depuis c’est le déluge…