14 Août2015
 

Le premier était délicieux mais il n’est pas encore passé… alors j’en prends un autre pour pousser !

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(Je ne parle pas de la Guinness… c’est la 3ème… trop chaud pour bouger !)

  9 Responses to “TCR : Le 136 n’en fait qu’à sa tête”

  1. Un pousse….mousse ?

  2. Bon. On va re-causer un peu de la course.

    1- Tu es donc parmi les approx 50% à être finisher (chiffres tracker à jour) en considérant que les 6 ou 7 qui sont toujours en route finiront. Et que, parmi ces 50%, il y en a qui ont shunté une partie, importante ou plus petite, du parcours (les contrôles et les portions obligatoires). Sans même parler du fait qu’il y en a qui ont utilisé un, ou des, véhicules.
    BALAISE

    2- Question : Qu’avais-tu fait, finalement, comme « longues », et longues distances avant de partir ? Me souviens pas au juste. Des brevets, oui, et ??

    • Merci Jean-Louis pour ces infos car je ne me suis jamais préoccupé de savoir où j’en étais par rapport aux autres.

      Si tu veux parler de l’entraînement en longues distances cette année, il se résume aux BRM 300 (Caudan), 400 (Guipavas) et 600 (Carhaix).
      Plus bien sûr 23 mois (25 maintenant) de Dodécaudax Continu.

      • Les distances cumulées en soi ne peuvent pas tout expliquer. Ce sont plutôt les erreurs et galères passées qui forgent le moral et par conséquent la volonté.
        Roland a fait le choix comme beaucoup de finir quelque soit la durée, transformer une course en découverte personnelle ça c’est fort.
        Roland: oublié les soucis des saisons précédentes ( chute au départ d’une diag et autres « joyeusetés » de santé).

      • Sur ta première phrase : C’est donc épatant que toi, Philippe Lebas et Peter Vancampenhout, vous vous soyez retrouvés à peu de distance vers Kemerbugaz pour les derniers km, en étant partis le matin de lieux différents en distance et en ayant pris trois routes totalement différentes.

        Et, sur « l’entrainement » longue distance, voici encore de quoi rendre perplexes certains. MAIS, ce DDCX en continu est forcément un point primordial.

        ET, autre point primordial, il y a l’expérience du « self-riding », si je puis dire. Et l’envie ….

        Me trompe-je ?

        • Je pense que la gestion de l’épreuve est primordiale. Et donc l’expérience des longues distances vues comme distance de longues durées. Je savais que le fait que la TCR était une épreuve très longue était paradoxalement un atout pour moi, à condition de franchir les premiers jours en bon état.
          J’ai donc tout fait pour éviter le moindre bobo au cours des premiers jours.
          Quitte à prendre mon temps dans (et après) l’Assietta par exemple.

    • Que lis-je ?

      Des resquilleurs dans la TCR ?

      Quel intérêt ?

  3. tout simplement , BRAVO.
    prends le temps de récupérer et retrouver un rythme de cyclotouriste.

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