04 Mar2011
 

Aujourd’hui le ciel est tout bleu !
Normal, le vent souffle de l’est. Et il souffle fort !
Certes il ne pleut pas, mais la température ressentie est vraiment glaciale.

Je me concocte un circuit presque « carré » de 77 kilomètres.

Circuit de 77 Km : Landerneau, Sizun, Le Faou, Le Relecq-Kerhuon

Au départ de La Forest-Landerneau : Landerneau, Sizun, Le Faou, Daoulas, le pont Albert Louppe, Le Relecq-Kerhuon, La Forest.

l'Elorn

Ci-dessus la vallée de l’Elorn en regardant en direction de Brest.
L’Elorn est une petite rivière de 53 kilomètres qui se jette dans la rade de Brest. Cette partie (jusqu’à Landerneau) est fortement influencée par les marées. Ainsi à marée basse au centre coule de l’eau douce, à marée haute c’est de l’eau salée qui remonte loin à l’intérieur des terres.

Landerneau : le pont de Rohan Landerneau : sculpture d'Henri-Paul Herry

Ci-dessus le pont de Rohan à Landerneau. Ce pont habité a fêté en 2010 ses 500 ans.
Juste devant le pont, au milieu de l’Elorn, une sculpture d’Henri-Paul Herry, figure Landernéenne.

De Landerneau à Sizun j’emprunte la D764, route du Paris-Brest-Paris lors du retour.

Sizun

L’enclos paroissial Saint-Suliau à Sizun.

À sizun je bifurque sur la D18 pour rejoindre Le Faou.
Ceux qui suivent ( 😉 ) se souviendront de cette photo prise par Rémi lors de la fin ma diagonale Perpignan-Brest en octobre 2010.
Devant le panneau Le Faou !

Autant dire qu’aujourd’hui une telle tenue aurait été suicidaire !…

Le Faou

Nouveau changement de direction, je remonte maintenant en direction de Brest via l’Hôpital-Camfrout, Daoulas, Loperhet, Plougastel-Daoulas.

Je traverse l’embouchure de l’Elorn par le pont Albert Louppe que nous emprunterons en août prochain lors de l’arrivée sur Brest du Paris-Brest-Paris.

La rade de Brest vue du pont Albert Louppe

Nouveau changement de direction, je rentre sur La Forest par la D233, route touristique entre Le Relecq-Kerhuon et Landerneau.

Bilan de cette sortie : 77 kilomètres et 1034 mètres de dénivelé positif soit 1343 m / 100 Km. Un circuit nettement plus exigeant en terme de relief que les deux précédents, mais qui correspond bien à ce que l’on trouve dans la région : on ne monte jamais très haut (je n’ai pas dépassé 169 mètres d’altitude) mais il n’y a pas de route « plate ».

En arrivant (19 heures) la température n’était que de 5°. Le vent d’est donnait une température ressentie bien inférieure.

  2 Responses to “77 kilomètres bien ventilés”

  1. Une bonne âme pour dire au gars sous sa barque* qu’il peut maintenant la mettre à l’eau ? Il est arrivé.
    Ou alors, c’est Jésus qui-mar-chait-sur-l’eau, mais qui avait emporté quand même une barque au cas-où, on ne sait jamais, dès fois que le « truc » ne marche pas…

    * Ou une annexe (ça, c’est pour faire connaisseur..)

  2. Sinon… La rade de Brest (et ta photo) est splendide au soleil du soir.

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